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mardi 27 février 2018

Le sport au féminin

Cette année encore, notre club participe à l'opération de la mairie de SOTTEVILLE-LES-ROUEN intitulée Sport au Féminin dans le cadre de la journée du droit des femmes. A cette occasion les portes de notre dojo seront ouvertes pour dispenser une initiation à la self-defense avec des techniques issues de notre école d'art-martiaux traditionnels.




Venez nombreuses!

dimanche 11 février 2018

Stage dédié au sabre

Le 27 et 28 janvier dernier a eu lieu le stage annuel de Iaïdo Takeda-ryu Maroto-ha sous la férule de senseï Barnavol, 5ème Dan dans cette discipline. Il est venue du sud de la France à Metz pour transmettre son savoir à la vingtaine d'élèves qui s'étaient déplacés pour l'occasion de France et de Belgique.


C'est toujours avec bonne humeur mais minutie et rigueur que s'est déroulé ce stage qui était une première pour l'un des pratiquant du club.
Les enseignements transmis nourriront à coup sûr la réflexion des pratiquants du Club d'Arts-martiaux Traditionnels Sottevillais pendant quelques années.
Ce stage, riche en enseignement, tant humain que technique, a fait la joie de tous et sera très certainement suivi lors de sa prochaine édition!

Arnaud CEI-SAUREL

dimanche 4 février 2018

Un Kamiza? Quezako!

Kamiza est un terme japonais désignant le « siège du haut » dans une pièce, c'est-à-dire la place d'honneur ou la mieux protégée; le terme s'applique également aux meilleures places dans les avions, les trains et les voitures.
Dans les dojos voués à la pratique des arts martiaux le kamiza est le plus souvent décoré d'une calligraphie, de sabres, d'un portrait ou de tout autre objet symbolique de la discipline enseignée.
Le Kamiza de notre club
Dans sa plus simple expression le kamiza est juste décoré d'une photo. Cette dernière doit être la photo ou représentation du fondateur de l'école ou le dernier héritier désigné officiellement dans les écoles traditionnelles. C'est ainsi que la photo de JIGORO KANO, GINSHIN FUNAKOSHI et MORIHEI UESHIBA ornent les dojos de respectivement Judo, Karaté Shotokan et Aïkido. Pour notre école, notre fondateur étant encore en vie, nous le saluons donc, non par dévotion, mais par respect pour ce qu'il nous transmet.
L'origine de la photo au mur viendrait de l'ère Meïji. En effet, à cette époque, les arts-martiaux traditionnels sont considérés comme rétrogrades et sont interdits. Malgré tout, certaines personnes continuent à transmettre ce savoir mais de façon confidentielle et à domicile. Le kamiza chez des particuliers est souvent l'autel aux ancêtres. La transmission des arts-martiaux étant avant tout familiale, la tradition de saluer les ancêtres fondateurs est née.
Ainsi, pour les pratiquant d'arts-martiaux, l’étiquette veut que l'on salut le kamiza lorsqu'il est décoré. Un fois le salut fait, la pratiquant peut monter sur le tatamis (de lui-même si l'instructeur n'est pas présent, sur son autorisation dans le cas contraire). Les kamiza étant le plus souvent démontés à chaque fin de cours, l'excès inverse est de saluer une salle vide!

Sources: wikipédia, linternaute.com
Arnaud Cei Saurel